Merci beaucoup à Aileen Nobles pour cet excellent article.
C’est un cas classique dans lequel l’utilisation de l’EFT pour supprimer des problèmes émotionnels a résulté en des améliorations physiques étonnantes. Elle détaille de nombreuses approches qui peuvent être utilisées pour une liste non exhaustive d’autres problèmes.
Bonjour, Gary,
J’ai pensé que cette situation pourrait être intéressante, pour toi et pour tes lecteurs.
J’ai rencontré une cliente (je vais l’appeler Mary) et lorsque je l’ai rencontrée j’ai remarqué qu’elle boitait sévèrement. Il lui était difficile de se tenir droite et il semblait que ses deux genoux partaient dans des directions différentes quand elle marchait. De plus, bien que son pied soit maintenu dans une sorte d’attelle, il traînait toujours quand elle se déplaçait.
Mary est assez jeune, dans la trentaine, et c’est une personne qui réussit très bien dans les relations publiques, à New York. Je lui ai demandé ce qui se passait, et depuis combien de temps elle avait ce problème.
Elle me dit que c’était pratiquement depuis toujours. On lui avait diagnostiqué des ligaments relâchés, ce qui se manifestait en particulier dans ses jambes et ses pieds.
Elle se souvient que, quand elle avait à peu près cinq ans, sa mère l’a emmenée voir un docteur terrifiant qui lui avait dit qu’elle ne s’améliorerait jamais. Elle l’avait appelé Docteur Mort. Il avait une moustache en guidon de vélo et depuis ce jour-là, elle était terrifiée par les hommes avec des moustaches en guidon de vélo.
Nous avons commencé à tapoter. « Même si je pensais que ce docteur diabolique était horrible, j’ai accepté ce qu’il m’a dit, en dépit de cela, je m’aime et je m’accepte complètement de toute façon. »
« Même si je l’ai haï et si je ne l’ai pas cru, une partie de moi à accepté ce qu’il m’a dit, que je n’irai jamais mieux, c’est ok que je m’aime et que je m’accepte de toute façon. »
Nous avons tapoté sur divers points en disant : « Non seulement il était méchant et diabolique, il avait aussi ces moustaches terrifiantes et j’étais si petite et impuissante que je ne pouvais pas lui échapper».
Tandis que nous tapotions, j’ai demandé à Mary d’imaginer le Docteur petit garçon avec sa grande moustache en guidon de vélo et elle a commencé à rigoler. Alors nous avons continué : « Je parie qu’il n’avait pas toujours raison quand il parlait aux gens, en fait il avait probablement tort souvent, et si j’avais pu demander à sa femme elle me l’aurait probablement confirmé, et cependant je lui ai donné tout pouvoir… Mais c’est OK, je peux m’aimer et m’accepter de toute façon. »
Nous avons continué à tapoter jusqu’à ce qu’elle puisse s’imaginer dans son cabinet, petite fille, sans avoir de réaction. Ensuite nous avons tapoté sur le fait d’être capable de tenir sur ses deux pieds à elle et d’être prête à avancer. Nous avons tapoté sur le renforcement des ligaments.
Sa douleur avait beaucoup diminué quand elle s’est levée pour quitter le bureau et nous avions aussi tapoté sur ce problème.
Au cours de la session suivante, Mary m’a rapporté qu’elle avait réussi à marcher dans son appartement sans son attelle, mais qu’elle en avait eu besoin à l’extérieur car les trottoirs sont irréguliers. Après quelle m’ait quittée, et avant de retourner à New York, Mary était en fait allée marcher sur la plage ! Elle n’avait pas été capable de faire cela depuis des années. Elle avait aussi pensé que les affirmations sur le fait d’être debout sur ses deux pieds et d’être capable d’avancer avaient fait une immense différence dans sa vie. Elle m’a dit qu’elle avait conclu cinq nouveaux contrats dans les deux semaines qui ont suivi le début de notre travail ensemble.
Pendant que nous parlions, elle m’a aussi mentionné avoir une migraine si sévère qu’elle avait dû annuler un rendez-vous professionnel important.
Nous avions du pain sur la planche !
Cette session s’est passée au téléphone. Nous avons commencé avec les points sensibles.
« Même si j’ai eu de l’amélioration dans le renforcement de mes ligaments, je me raccroche à des émotions qui m’empêchent de renforcer mes ligaments complètement. Bien que cela soit complètement inconscient, c’est OK, je peux m’aimer et m’accepter de toute façon. »
« Même s’il y a une partie à l’intérieur de moi qui m’empêche de guérir complètement, c’est OK je m’accepte de toute façon, mais je préférerais guérir. »
« Quelles que soient les émotions que j’ai dans mon subconscient, je voudrais réellement les relâcher si elles ralentissent mon processus de guérison. »
Nous avons changé les points de tapotements, tapotant sur le relâchement de toutes les émotions, les croyances et les expériences négatives.
Ensuite nous avons discuté sur combien on s’était moqué d’elle à l’école à cause de la façon dont elle marchait. Ses genoux ne fonctionnent pas comme ceux d’autres personnes, alors elle a toujours eu une démarche inhabituelle.
« J’ai tous ces souvenirs de quand j’avais cinq ans et demi et qu’on se moquait de la façon dont je marchais. Je ne marchais pas comme les autres. Mes genoux me fonctionnaient pas comme ils auraient dû. »
Bonjour, Gary,
J’ai pensé que cette situation pourrait être intéressante, pour toi et pour tes lecteurs.
J’ai rencontré une cliente (je vais l’appeler Mary) et lorsque je l’ai rencontrée j’ai remarqué qu’elle boitait sévèrement. Il lui était difficile de se tenir droite et il semblait que ses deux genoux partaient dans des directions différentes quand elle marchait. De plus, bien que son pied soit maintenu dans une sorte d’attelle, il traînait toujours quand elle se déplaçait.
Mary est assez jeune, dans la trentaine, et c’est une personne qui réussit très bien dans les relations publiques, à New York. Je lui ai demandé ce qui se passait, et depuis combien de temps elle avait ce problème.
Elle me dit que c’était pratiquement depuis toujours. On lui avait diagnostiqué des ligaments relâchés, ce qui se manifestait en particulier dans ses jambes et ses pieds.
Elle se souvient que, quand elle avait à peu près cinq ans, sa mère l’a emmenée voir un docteur terrifiant qui lui avait dit qu’elle ne s’améliorerait jamais. Elle l’avait appelé Docteur Mort. Il avait une moustache en guidon de vélo et depuis ce jour-là, elle était terrifiée par les hommes avec des moustaches en guidon de vélo.
Nous avons commencé à tapoter. « Même si je pensais que ce docteur diabolique était horrible, j’ai accepté ce qu’il m’a dit, en dépit de cela, je m’aime et je m’accepte complètement de toute façon. »
« Même si je l’ai haï et si je ne l’ai pas cru, une partie de moi à accepté ce qu’il m’a dit, que je n’irai jamais mieux, c’est ok que je m’aime et que je m’accepte de toute façon. »
Nous avons tapoté sur divers points en disant : « Non seulement il était méchant et diabolique, il avait aussi ces moustaches terrifiantes et j’étais si petite et impuissante que je ne pouvais pas lui échapper».
Tandis que nous tapotions, j’ai demandé à Mary d’imaginer le Docteur petit garçon avec sa grande moustache en guidon de vélo et elle a commencé à rigoler. Alors nous avons continué : « Je parie qu’il n’avait pas toujours raison quand il parlait aux gens, en fait il avait probablement tort souvent, et si j’avais pu demander à sa femme elle me l’aurait probablement confirmé, et cependant je lui ai donné tout pouvoir… Mais c’est OK, je peux m’aimer et m’accepter de toute façon. »
Nous avons continué à tapoter jusqu’à ce qu’elle puisse s’imaginer dans son cabinet, petite fille, sans avoir de réaction. Ensuite nous avons tapoté sur le fait d’être capable de tenir sur ses deux pieds à elle et d’être prête à avancer. Nous avons tapoté sur le renforcement des ligaments.
Sa douleur avait beaucoup diminué quand elle s’est levée pour quitter le bureau et nous avions aussi tapoté sur ce problème.
Au cours de la session suivante, Mary m’a rapporté qu’elle avait réussi à marcher dans son appartement sans son attelle, mais qu’elle en avait eu besoin à l’extérieur car les trottoirs sont irréguliers. Après quelle m’ait quittée, et avant de retourner à New York, Mary était en fait allée marcher sur la plage ! Elle n’avait pas été capable de faire cela depuis des années. Elle avait aussi pensé que les affirmations sur le fait d’être debout sur ses deux pieds et d’être capable d’avancer avaient fait une immense différence dans sa vie. Elle m’a dit qu’elle avait conclu cinq nouveaux contrats dans les deux semaines qui ont suivi le début de notre travail ensemble.
Pendant que nous parlions, elle m’a aussi mentionné avoir une migraine si sévère qu’elle avait dû annuler un rendez-vous professionnel important.
Nous avions du pain sur la planche !
Cette session s’est passée au téléphone. Nous avons commencé avec les points sensibles.
« Même si j’ai eu de l’amélioration dans le renforcement de mes ligaments, je me raccroche à des émotions qui m’empêchent de renforcer mes ligaments complètement. Bien que cela soit complètement inconscient, c’est OK, je peux m’aimer et m’accepter de toute façon. »
« Même s’il y a une partie à l’intérieur de moi qui m’empêche de guérir complètement, c’est OK je m’accepte de toute façon, mais je préférerais guérir. »
« Quelles que soient les émotions que j’ai dans mon subconscient, je voudrais réellement les relâcher si elles ralentissent mon processus de guérison. »
Nous avons changé les points de tapotements, tapotant sur le relâchement de toutes les émotions, les croyances et les expériences négatives.
Ensuite nous avons discuté sur combien on s’était moqué d’elle à l’école à cause de la façon dont elle marchait. Ses genoux ne fonctionnent pas comme ceux d’autres personnes, alors elle a toujours eu une démarche inhabituelle.
« J’ai tous ces souvenirs de quand j’avais cinq ans et demi et qu’on se moquait de la façon dont je marchais. Je ne marchais pas comme les autres. Mes genoux me fonctionnaient pas comme ils auraient dû. »
Nous avons continué à tapoter pour se débarrasser des moqueries méchantes des enfants et de la haine d’être différente.
Nous avons tapoté sur : « Je détestais être différente, cela faisait tellement mal de se faire moquer de moi et je garde toute cette souffrance à l’intérieur de moi maintenant. »
Nous avons tapoté sur : « Je détestais être différente, cela faisait tellement mal de se faire moquer de moi et je garde toute cette souffrance à l’intérieur de moi maintenant. »
Nous avons tapoté sur son thymus tandis qu’elle disait : « Cette souffrance ressort dans mes migraines. »
Nous avons tapoté sur « Cela ne me fait pas de bien de garder tout cela à l’intérieur de moi car cela affecte mon corps physique. »
Nous avons fait une autre ronde complète sur le fait de garder puis de relâcher la souffrance de la moquerie. Nous avons parlé de la façon dont la douleur va dans sa tête et dans ses pieds puis nous avons fait une courte ronde : « Je veux laisser partir cette souffrance. » « Je crois que je peux laisser partir cette souffrance. » « Je choisis de laisser partir cette souffrance. » Et la plus importante : « Je m’autorise à laisser partir cette souffrance. »
Nous avons aussi tapoté sur les enfants petits qui ne se rendaient pas compte quand ils étaient méchants avec les autres. Comme on s’était probablement moqué d’eux et on les avait blessés, et comme ils l’utilisaient comme un bouc émissaire pour leur propre douleur. Nous avons tapoté sur le pardon.
Nous avons tapoté sur : « Même si je ne suis pas comme tout le monde, c’est une bonne chose, mais j’aimerais être capable de marcher plus facilement. J’aimerais que mes genoux fonctionnent normalement et que les ligaments dans tout mon corps deviennent plus forts pour que je puisse avancer dans ma vie plus facilement et avec plus de force. »
Mary m’a dit alors qu’elle ressentait un fourmillement chaud dans son pied gauche (le pied qui avait le plus de problèmes). Elle pensait que c’était une bonne énergie. Nous avons tapoté sur : « Même si je ressens ce fourmillement chaud dans mon pied gauche, je pense que c’est mon corps qui guérit mon pied en ce moment. » « J’aimerais que cela se passe dans les deux pieds si cela me fait du bien. Si ce n’est pas cela, j’aimerais que cela disparaisse et que la guérison continue. » Nous avons tapoté sur le fait d’être capable de marcher sans douleur n’importe où dans la ville, de marcher pour le plaisir, de marcher vers le bonheur et le succès. Elle s’est imaginée marcher de la façon qu’elle voulait et nous avons remercié son corps pour la guérison qui prenait place en cet instant.
Nous avons testé Mary en la faisant s’imaginer dans le cabinet du Docteur avec les moustaches en guidon de vélo, et avec les enfants à l’école. Elle était à zéro partout. Je l’ai faite se lever et marcher dans la pièce. Elle m’a dit n’avoir aucune douleur mais se sentir un peu raide. Nous avons tapoté sur la raideur qui est descendue à 1.
Elle était aux anges.
Nous avons aussi travaillé sur la nouvelle Mary… Une Mary qui marchait normalement pour la première fois de sa vie. Il sera intéressant de voir si ces améliorations tiennent. Cela fait déjà quelques semaines.
Amour et Lumière? Aileen
Nous avons aussi tapoté sur les enfants petits qui ne se rendaient pas compte quand ils étaient méchants avec les autres. Comme on s’était probablement moqué d’eux et on les avait blessés, et comme ils l’utilisaient comme un bouc émissaire pour leur propre douleur. Nous avons tapoté sur le pardon.
Nous avons tapoté sur : « Même si je ne suis pas comme tout le monde, c’est une bonne chose, mais j’aimerais être capable de marcher plus facilement. J’aimerais que mes genoux fonctionnent normalement et que les ligaments dans tout mon corps deviennent plus forts pour que je puisse avancer dans ma vie plus facilement et avec plus de force. »
Mary m’a dit alors qu’elle ressentait un fourmillement chaud dans son pied gauche (le pied qui avait le plus de problèmes). Elle pensait que c’était une bonne énergie. Nous avons tapoté sur : « Même si je ressens ce fourmillement chaud dans mon pied gauche, je pense que c’est mon corps qui guérit mon pied en ce moment. » « J’aimerais que cela se passe dans les deux pieds si cela me fait du bien. Si ce n’est pas cela, j’aimerais que cela disparaisse et que la guérison continue. » Nous avons tapoté sur le fait d’être capable de marcher sans douleur n’importe où dans la ville, de marcher pour le plaisir, de marcher vers le bonheur et le succès. Elle s’est imaginée marcher de la façon qu’elle voulait et nous avons remercié son corps pour la guérison qui prenait place en cet instant.
Nous avons testé Mary en la faisant s’imaginer dans le cabinet du Docteur avec les moustaches en guidon de vélo, et avec les enfants à l’école. Elle était à zéro partout. Je l’ai faite se lever et marcher dans la pièce. Elle m’a dit n’avoir aucune douleur mais se sentir un peu raide. Nous avons tapoté sur la raideur qui est descendue à 1.
Elle était aux anges.
Nous avons aussi travaillé sur la nouvelle Mary… Une Mary qui marchait normalement pour la première fois de sa vie. Il sera intéressant de voir si ces améliorations tiennent. Cela fait déjà quelques semaines.
Amour et Lumière? Aileen
SOURCE ICI