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La respiration est l’une des clés majeures de la santé et du bien-être. Ce n’est pas sans raison que les yogis la pratiquent assidûment afin de développer certaines capacités psychiques et physiques. La maîtrise de la respiration au travers de différents exercices est même une discipline à part entière dans la tradition hindoue : le Prânâyâma. Ce terme signifie littéralement « rétention du souffle de la respiration », où le souffle (Prâna) peut être entendu comme la Force vitale (ou énergie vitale) que la respiration permet d’absorber. Cette Force de Vie est vibratoirement très proche de ce que la science ésotérique nomme « Ether », qui est également connu dans la tradition hindouiste sous le nom de « Âkâsha ». Nous pourrions dire également que le Prâna est l'un des nombreux aspects de l'Ether.
L’Ether est la Substance unique et primordiale dont
sont issus les 4 éléments traditionnels du monde manifesté : l’Eau, le
Feu, la Terre et l’Air. Il est le principe sans lequel les autres
éléments ne sauraient exister. Il est le Principe Féminin du Divin. C’est le 5ème élément, la « quintessence » (du latin quinta essentia,
cinquième essence) pouvant être représentée symboliquement par le
sommet de la pyramide : la pointe à partir de laquelle toutes les
réalités prennent formes ; les 4 angles de la base de pyramide
symbolisant les 4 éléments du monde physique cités ci-avant. Il est
également symbolisé par le centre du cercle ou le centre de la croix.
C'est le Point zéro des physiciens et la Conscience pure des contemplatifs. Il est le Wu Ji des Taoïstes et la Vacuité des
Bouddhistes. Si Dieu créa l’Être humain à son image, alors ce champ
d’énergie est également présent en l’Être humain, où il joue le rôle de
matrice énergétique structurant la vie du corps physique (et de la
"matière" en général) et de tous les autres corps subtils (émotionnel,
mental, causal, bouddhique, atmique, selon classification empruntée à la
doctrine théosophiste). Rien n’étant permanent dans le monde de la
forme, le corps physique a besoin d’être constamment alimenté en énergie
par cette matrice énergétique (ou « corps étherique »). C’est à ce
niveau qu’intervient la respiration. Grâce à elle, le corps physique
absorbe l’oxygène nécessaire au fonctionnement des différentes fonctions
physiologiques. Au niveau énergétique, l’air inspiré contient également
en proportion variable (selon le taux vibratoire du lieu) ce fameux
Prâna qui est de nature étherique très élevée, très proche du Plan Divin
comme nous l'avons dit.
L’Ether est la source non-manifestée de toute vie qui
sous-tend l’existence de l’énergie sous l'aspect de « formes » plus ou
moins denses. C’est cette Force de création primordiale qui porte en son
sein le monde phénoménal, ou monde « physique ». Il est intéressant de
constater que le préfixe « pr- » du mot sanskrit « Prâna » signifie
« avant » et est associé à l’idée de supériorité. Il se rapporte à la
préposition latine « prae », qui a donné des mots comme « précéder »,
« prescience », « prévoir », « présage », « pressentir », « préalable »,
mais aussi « présent », ou « présider ». « Pr- » se retrouve également
dans la préposition latine « pri- », qui a donné « primordial »,
« premier », « prioritaire », « principal », ou dans la préposition
latine/grecque « pro », qui a donné « protéger », « prophète ». Il se
retrouve en sanskrit dans « pran », qui signifie « respirer »,
« vivre », « souffler », et sous une autre forme également : « tourné
vers l’avant à l’Orient, l’Est ». Prâna est donc la Force de Vie associée au souffle, mais pas à n’importe quel souffle : le Souffle Divin. Nous
pouvons encore remarquer la similitude étonnante avec le mot sanskrit
« Prânava » qui est associé au son sacré « OM » (le Prânavamantra).
Selon la tradition hindoue, le son « OM » serait la vibration originelle
à partir de laquelle la Création se serait structurée. Nous pouvons y
voir un lien intéressant avec la tradition chrétienne et le fameux « Au
commencement était le Verbe » de Saint-Jean, ou encore le « Que la
Lumière soit » du livre de la Genèse.
Le Prâna est donc étroitement lié aux principes de « Vie » et de « Création » (nous mettons volontairement une majuscule à ces deux noms pour en dénoter le caractère sacré).
C’est le Souffle de Dieu sans lequel il n’y a que néant (dans le sens
de chaos, et non pas de « Vide Divin » ou de « Vacuité »). Cette
remarque nous permet également de tirer un parallèle avec la notion d’Amour-Force
dont nous avons déjà parlés à de nombreuses reprises sur ce site
internet. Nous pouvons supposer que l’Amour-Force, en tant que l’énergie
de cohésion, d’ordre parfait, de guérison et d’harmonie est
intrinsèquement liée au Prâna. En fait, nous pourrions même affirmer que
ce dernier serait cette énergie d'Amour-Force, mais déclinée dans son
aspect la rendant directement absorbable par la respiration.
Revenons-en à la respiration justement. Si elle est le vecteur
principal d’absorption de cette Force de Vie qui participe au bon
fonctionnement du corps physique, il est donc très important que l’Être
humain lui accorde une attention toute particulière. Chaque fois qu’il
inspire, il absorbe du Prâna sans s’en rendre compte. Lorsque la
respiration est naturelle et profonde, l’absorption de Prâna permet au
corps étherique de se recharger en énergie vitale, permettant ainsi au
corps physique de fonctionner correctement. Par contre, si des tensions
et des blocages perturbent la respiration, l’absorption de Prâna est
insuffisante. Cela peut engendrer de la fatigue et bon nombre de
conséquences physiologiques néfastes qu’il serait bien trop long
d’énumérer sur cette page.
Dans son mode de vie moderne antinaturel, l’Être humain est soumis à un stress intérieur
quasi permanent. Sous l’effet des schémas de pensée parasites et de
toutes les émotions inférieures qui en découlent (la peur en premier
lieu), son corps physique se sent menacé, se défend et se protège. Ne
faisant pas la différence entre une peur psychologique et un réel danger
physique, il répond aux stimuli de stress par une activation du système
nerveux sympathique. Cette activation se traduit par un ensemble de
contractions et d’accélérations facilitant la fuite et la lutte face au
danger potentiel perçu. Sous l’effet de ces contractions, la respiration
se dérègle. Dans certains cas extrêmes, l’individu peut se surprendre à
alterner des phases d’apnée avec de grandes inspirations pour reprendre
son souffle, sans toutefois qu'il y a une raison valable à ce
déséquilibre. Dans ces conditions, le diaphragme ne peut plus jouer son
rôle de régulateur de la respiration, ce qui entraîne un mauvais échange
entre l’oxygène et le gaz carbonique (et une mauvaise absorption du
Prâna). De plus, nous pouvons également déplorer l’environnement
dénaturé dans lequel l’individu passe la plupart de son temps. Il baigne
dans un smog électromagnétique qui le coupe des énergies bienfaisantes
de la nature, et du Prâna par conséquent. Ajoutez à cela un manque
d’heure de sommeil est une alimentation totalement dépourvue de « vie »,
et vous avez là un cocktail explosif d’autodestruction largement
répandu au sein du collectif humain.
Si l’homme moderne veut à nouveau pouvoir vivre en harmonie avec son
environnement, même si celui-ci n’est pas des plus naturels, il se doit
de changer son regard sur le monde et sur lui-même. L’identification
continue à un ensemble de schémas de pensée égotiques déforment sa
perception de la réalité et projette sur son écran mental le reflet de
ses propres limitations intérieures. C’est précisément cette
identification à l’ego qui génère le stress intérieur dont nous parlions
plus haut. Pour survivre, l’ego met en place un ensemble de mécanismes
de défense qui se traduisent par des blocages et des crispations dans le
corps physique. La plupart du temps, l’individu n’a même pas conscience
de ces blocages. Il n’a pas suffisamment de recul pour prendre
conscience du lien entre ses symptômes physiques et les schémas mentaux
et émotionnels qui en sont la cause. L’identification aux schémas de
pensée devient automatique et répétitive, à la manière d’un robot
réagissant toujours de la même manière, selon les mêmes « programmes »
implantés dans son disque dur (son inconscient). Ce sont toujours les
mêmes schémas de pensées qui tournent en boucle dans son esprit. Avec
les années, de véritables sillons d’inconscience se sont creusés dans sa
psyché. Même lorsqu’il n’est pas confronté extérieurement à une
situation source de stress, ses mémoires inconscientes remontent en
surface et le conditionnent sans qu’il s’en aperçoive. Il modèle sa
réalité intérieure en s’identifiant à ces mémoires qui appartiennent au
passé mais qui pourtant continuent d’influencer sa vie présente de par
l’importance qu’il leur accorde, les renforçant ainsi toujours un peu
plus. Malheureusement, ces chemins d’inconscience sont empruntés sans
effort. Cela se fait tout seul et il est facile de se laisser porter par
le courant. L’inertie s’autoalimente et devient toujours plus forte.
C’est une spirale infernale mortifère !
En lisant ces lignes, vous pourriez déplorer que nous dressions un
tableau aussi « noir » de la nature humaine. Nous sommes bien conscients
que nos propos peuvent être perçus comme tels et qu'ils donnent
l'impression d'une généralisation s'appliquant à tous sans exception.
Notre intention n'est pas de peindre le diable sur la muraille, mais
simplement de mettre en lumière les schémas de fonctionnement qui
empêchent l'Être humain de rayonner sa véritable Nature. Celui-ci est
déjà le Divin de fait, mais il ne le sait pas. C'est précisément cette
ignorance et l’impression de séparation inhérente à l’identification à
l’ego qui est la cause de sa souffrance intérieure, qui se projette dans
sa réalité extérieure sous la forme des injustices, des inégalités, des
guerres, des conflits, des mélodrames, etc, tant individuellement que
collectivement. Il y a évidemment différents degrés d’inconscience au
sein du collectif humain, mais nous devons malheureusement admettre que
les constats que nous faisons sont encore représentatifs d’une grande
partie de la population. Si nous pointons du doigt l’Ombre intérieure,
ce n’est nullement pour la stigmatiser ou la juger (ce qui reviendrait à
la renforcer par ailleurs), mais pour que l’individu puisse mieux la
percevoir en lui afin de l’éclairer dans le positionnement intérieur
approprié, celui de l’Accueil et de l’Acceptation inconditionnelle. Comme le disait Lao Tseu, « mieux vaut allumer une bougie que maudire les ténèbres ». Nous
sommes intimement convaincus que ce travail d’Illumination intérieure
est la Voie royale qui permettra de bâtir la Nouvelle Jérusalem,
symbolisant le Paradis terrestre post-apocalyptique aux portes duquel
nous nous trouvons présentement. Sur d’autres plans nous y sommes déjà
d’une certaine manière, ce qui est très réjouissant. Cependant, pour que
cette nouvelle réalité puisse se manifester jusque dans la matière, il
est impératif que l'individu travaille à sa réalisation intérieure.
Chacun doit apporter sa pierre pour l'éditification du Nouveau Monde,
d'une manière ou d'une autre, mais dans la perspective d'une libération
de ses propres chaînes. Nous pensons qu’il était important de préciser
cela afin de vous éviter tout risque de mésinterprétation de nos
propos.
La respiration est le baromètre qui indiquera toujours l’heure
juste de ce qui se passe en soi-même. Le corps physique étant très
étroitement lié au psychisme, la respiration renseignera toujours
précisément ce que nous sommes en train de vivre, tant au niveau de la
conscience de veille (les pensées en surface) que de l'inconscient en
arrière-plan. Il est donc essentiel de porter fréquemment attention à sa respiration pour mesurer le degré de paix intérieure.
Si la respiration est altérée sans pour autant que la conscience de
veille s’identifie à des schémas limitants, cela signifie que
d’anciennes énergies émotionnelles saturent le corps physique et
l’empêchent de fonctionner librement. En surface, l’individu n’a pas
l’impression d’être en proie à de la négativité mais par contre le corps
physique dit la vérité en traduisant exactement ce qui se passe
en-dessous du seuil de la conscience. En portant son attention sur sa
respiration, l’Être humain a la possibilité de retrouver rapidement un
état de bien-être et d’harmonie intérieure revigorant. Pour cela, il
s’agit tout simplement d’observer attentivement les mouvements
respiratoires et d’apporter les relâchements nécessaires leur permettant
de retrouver leur rythme naturel. Il n’y a rien de bien soricer à cela,
la seule difficulté étant l’effort sur soi-même à fournir pour revenir à
l’instant présent au travers de l’observation de la respiration. Cet
effort de vigilance consciente a également l'immense avantage de rompre
l’inertie d’identification aux schémas psychiques qui sont la cause
(directe ou indirecte) des tensions dans le corps physique. A ce titre,
nous ne pouvons pas manquer de citer un enseignement du Bouddha Shâkyamuni (Siddhârta Gautama) transmis à ses disciples au sujet de l’importance de la respiration :
Observez attentivement votre respiration. Ne faites rien d'autres.
Simplement, observez de manière continue vos inspirations et vos
expirations. Sentez l'inspiration vous pénétrer, suivez-la, laissez
votre conscience aller en profondeur avec elle. Puis laissez-la sortir.
Soyez très vigilant ! [...] Ne manquez pas une seule respiration. Si une
respiration manque physiologiquement, vous êtes mort cliniquement et si
vous n'êtes pas vigilant, si une respiration échappe à votre
conscience, vous oubliez alors votre centre, vous êtes comme mort
intérieurement. [...] La respiration est vitale pour le corps et la
pleine conscience de la respiration est vitale pour le centre intérieur.
Entre paranthèse, le centre intérieur auquel fait allusion le Bouddha dans la dernière phrase est le Hara,
c'est à dire le 2ème chakra localisé à environ 3 cm sous le nombril et 5
cm en direction de la colonne vertébrale, mais dans le corps étherique.
Ce centre énergétique est considéré comme le lieu de séjour de l'Âme
dans l'incarnation (Swadhisthana, en sanskrit, signifie « Lieu de
séjour du Soi »). Sans la présence à Soi à partir du Hara, tous les
autres centres énergétiques (ou chakras) du corps physique ne peuvent
être véritablement équilibrés. Le Hara est le vase d’accueil qui
soutient l’ensemble de l’incarnation. Il est donc possible (et tout à
fait recommandé) de s'aider de la respiration pour focaliser le champ de
conscience sur le Hara en le ressentant le plus intensément possible.
Dans cet état de présence à Soi, il est alors impossible de s’identifier
et de nourrir des schémas inconscients. De plus, comme le Prâna suit la Conscience, observer et ressentir ce qui se passe dans ce centre énergétique aura pour effet de l’énergiser puissamment.
Maintenir la Conscience de manière concentrée sur une forme
manifestée (c.-à-d. la respiration pour notre exemple, ou une autre
manifestation telle qu'un objet, un son, une odeur, etc.) est une
pratique méditative que les Bouddhistes nomment « samatha ». La fréquence cérébrale inhérente à l’état de Conscience pure qui observe et ressent au-delà de toute pensée est dit « alpha ».
C’est également cette fréquence cérébrale qui est atteinte dans un état
de relaxation léger. Dans cet état de conscience, le système nerveux
autonome retrouve son équilibre et la respiration redevient naturelle et
profonde, et par conséquent harmonisante. Ainsi, grâce à la
respiration, vous disposez à tout instant d’un excellent moyen de sonder
ce qui se passe dans votre esprit et dans votre corps, et de retrouver
un état de détente et de bien-être en agissant consciemment sur
elle. Voici ce qu’écrit le Barefoot Doctor dans son excellent ouvrage « Le Guerrier Urbain » :
La façon dont vous respirez est presque aussi cruciale que l'acte
même de respirer. La respiration agit comme régulateur de l'ensemble de
la structure psychophysique. Lorsque vous ralentissez votre respiration,
votre esprit s'apaise et votre corps se détend. [...] Si vous retenez
votre respiration, ce que l'on fait inconsciemment dans les moments de
stress, vos pensées s'enlisent dans la négativité et votre énergie
baisse considérablement. [...] Votre aptitude à établir un contact et à
canaliser votre force psychique dépend avant tout de votre aptitude à
harmoniser les mouvements du diaphragme. Votre aptitude à atteindre la
paix intérieure, quelles que soient les conditions extérieures, dépend
de votre aptitude à maintenir une respiration équilibrée en toutes
circonstances. Pour ce faire, vous devez être attentif et vigilant.
La méditation guidée que nous vous proposons au téléchargement sur
cette page vous permettra d’intégrer par la pratique ce recentrage
conscient sur la respiration. Il ne s’agit pas de contrôler la
respiration par de longues inspires et expires, mais simplement de
relâcher en Conscience toutes les parties du corps qui pourraient être
crispées afin d’induire le relâchement et ainsi retrouver
automatiquement une respiration naturelle. Dans un état de relâchement
corporel, vous pourrez accueillir avec joie la sensation merveilleuse
que vous offre une respiration entièrement libérée (voir encadré
ci-dessous). Une fois que vous aurez bien assimilé cet exercice (vous
verrez c’est très simple), vous pourrez vous entraîner dans votre vie de
tous les jours en revenant aussi souvent que faire se peut à la
Conscience de votre respiration, pour lui permettre de retrouver un
rythme bienfaisant. Outre le bien-être que vous ressentirez dans votre
corps, cela vous permettra de réduire considérablement la marge de
manœuvre de votre inconscient, d’ôter toujours plus de force à l’inertie
involutive de vos conditionnements négatifs, et aussi de reprendre
petit à petit les commandes de votre incarnation en redevenant Maître de vous-même.
- type de fichier : .zip (.mp3) - durée : 21:47 - voix : Bodhiyuga - taille : 20 Mo - musique : Celtic Tranquility - texte de la méditation |
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"Maintenant, respire."Je me mis à respirer
profondément, comme Socrate me l'avait montré. "Non, ne force pas tant."
Après quelques minutes, je commençai à éprouver de drôles de sensations
dans le ventre et la poitrine. Ils étaient chauds à l'intérieur,
détendus et ouverts. Soudain, je me mis à pleurer comme un bébé, en
proie à un bonheur fou et ne sachant pas pourquoi. En cet instant, je
respirais totalement sans effort ; j'avais l'impression d'être respiré.
C'était tellement agréable que je pensai : "Pourquoi aller au cinéma
pour se distraire ?" J'étais tellement enthousiasmé que j'avais e la
peine à me contenir ! Puis, je sentis la respiration se crisper à
nouveau."Joseph, je l'ai perdue !""Ne t'inquiète
pas, Dan. Il te suffit de te relaxer un peu. Je t'ai aidé. Maintenant tu
connais la respiration naturelle. Pour la stabiliser, il faudra que tu
te laisses respirer naturellement, de plus en plus, jusqu'à ce que cela
devienne normal pour toi. En contrôlant ta respiration, tu dénoues tous
tes nœuds émotionnels et tu découvres alors un nouveau bonheur
corporel."
Extrait du Guerrier Pacifique, de Dan Millman
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Cette méditation guidée ainsi que son texte de présentation sont protégés par un copyright. Toutefois, vous pouvez la partager librement à la condition de ne pas en modifier le contenu. Merci.
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